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comédie musicale | Comédie où l'intrigue, peu resserrée, sert de prétexte à une suite de chansons et de danses |
praticable | Plate-forme généralement amovible, utilisée sur scène pour former des tréteaux, ou dans un espace vide pour monter une scène ou une estrade |
bouche à feu | Ce terme désigne d'abord une pièce d'artillerie : bombarde au début du 14e s., puis couleuvrine, canon, etc |
théâtre dans le théâtre | Voir Mise en abyme. |
piédroits | Parties verticales d'une ouverture. |
psc | Le Projet Scientifique et Culturel est " un document d'orientation précisant les objectifs scientifiques et culturels du musée ainsi que les conditions et les moyens envisagés pour leur mise en oeuvre, notamment en matière de collections, de personnels, de muséographie, d'éducation, de diffusion et de recherche." |
plan d'éclairage | Design selon lequel l'éclairage est programmé. |
travée | Portion de la nef comprise entre deux supports. |
haptique | science du toucher, par analogie avec acoustique ou optique ; désigne également des interfaces qui donnent des sensations par le toucher. |
stichomythie | Échange très rapide entre deux personnages |
mise en espace | Activité consistant à présenter un texte dramatique avec quelques déplacements et référents, dans le cadre d’une lecture publique |
dermoplastie | reconstitution très réaliste d'êtres vivants présents et disparus. |
porteuses | Tubes d’acier suspendus horizontalement aux cintres; on y accroche des châssis ou les perches supérieures des rideaux, toiles ou frises. |
thèse | Pièce qui illustre une proposition ou théorie particulière que l'auteur propose au public (ex |
hypertexte | Texte numérisé, disponible sur disque compact ou sur internet, où des mots ont été programmés de façon à renvoyer à d'autres mots et textes, ou à des annotations et des illustrations |
protomé | Élément décoratif constitué d'un buste d'homme ou d'animal. |
poutre de gloire | Poutre de l'entrée du choeur sur laquelle est traditionnellement placé un calvaire |
épique | Se dit d'une fable dont le topos, tiré de la vie des hommes, est agrandi et traité de façon telle, notamment par des ajustements idéologiques, qu'il soit presque impossible pour le spectateur de s'identifier au héros ou à la situation |
exposition | Informations fournies dès les premières scènes pour permettre que la situation soit évaluée et l'action comprise. |
pilastre | support de section quadrangulaire en légère saillie sur un mur ou un autre support, souvent surmonté d'un chapiteau. |
souffleur | Membre de l'équipe de production chargé d'aider les comédiens à se souvenir de leurs répliques |
symbolisme | Mouvement artistique et littéraire qui, en réaction contre le naturalisme, s'efforça de fonder l'art sur une vision spirituelle du monde, traduite par des moyens d'expression métaphoriques. |
étalonnage | égalisation des niveaux de luminance et de colorimétrie entre les différents plans montés |
baladin | Amuseur public (cirque, foire, rue...); applicable surtout à celui qui venait baller (danser) |
parataxe | Juxtaposition de phrases sans mot de liaison pour expliquer le rapport qu'elles ont entre elles |
harmonique | inventée par les architectes normands au milieu du XIe siècle, la façade harmonique est d'une composition assez simple |
grison | Nom donné à une roche, ayant une couleur brun rouge, très utilisée dans le sud de l'Eure au Moyen-Age |
syntagme | Axe des combinaisons |
opus | Mot latin signifiant "ouvrage" |
cabotin | Acteur qui attire l'attention sur lui aux dépens des autres, compromettant les intentions du metteur en scène |
putto | De l'italien "petit amour", un putto désigne, dans le vocabulaire décoratif, un jeune enfant nu et souvent potelé qui, à la différence des anges, n'est pas pourvu d'ailes. |
discours | Mode d'appréhension du langage, considéré non comme structure arbitraire (langue), mais comme activité de sujets inscrits dans un système déterminé |
polichinelle | Manière de baisser ou relever un rideau de scène à l’aide d’un dispositif fait d’un rouleau actionné par un jeu de ficelles. |
ysopet | Recueil de fables |
rôle | Partition, verbale ou non verbale, propre à un personnage |
banc | Jusqu'au XVIe siècle, il n'y avait pas de sièges en bois dans les églises mais plutôt des bancs de pierre le long des murs de la nef |
hors-texte | Terme pour désigner le contexte et l'intertexte.Pavis 1987, p |
arcade | Ensemble formé d'un arc et de ses supports |
scène | Terme désignant l'espace de jeu et ses dégagements, par rapport à la salle où se tient le public |
campanile | Désigne un clocher isolé, ou encore un petit édifice ouvert (campenard) situé au sommet d'une église et supportant une ou plusieurs cloches |
abat-son | Lames posées obliquement dans les baies des clochers pour renvoyer le son de la sonnerie des cloches vers le bas. |
meneau | Elément de pierre qui sépare une fenêtre en deux (sens vertical) ou en quatre parties |
bourse de corporal | C'est une enveloppe destinée à recevoir un corporal plié |
manipule | Bande d'étoffe pliée en deux moitiés reliées par un ruban, portée sur le bras gauche, exclusivement lors des messes, par tous les clercs |
drame cornélien | Conflit apparemment insoluble parce qu’opposant des protagonistes qui devraient défendre les mêmes sentiments et les mêmes devoirs |
tirade | Longue suite de phrases récitées sans interruption par un personnage (ex |
mortaise | Entaille généralement rectangulaire pratiquée dans une pièce de bois pour recevoir le tenon d'une autre pièce. |
battant | Partie mobile d'une cloche, en forme de massue et suspendue à l'intérieur |
registre | Bande décorative sculptée ou peinte |
tympan | espace décoré compris entre le sommet d'une ouverture (linteau)et l'arc qui la surmonte. |
avp | Études d'Avant-Projet. |
console | Appareil progammé comportant les claviers, registres et moniteurs de la régie d'éclairage ou de son |
comédie-ballet | Ballet parlé, construit à la manière d'une comédie, ou comédie entrecoupée d'épisodes dansés selon une technique propre au ballet. |
verrière ou vitrail | Ensemble des panneaux de verre garnissant une baie |
héros | Type de personnage doué de pouvoirs hors du commun et pouvant se dresser pour ou contre la Cité; Ubersfeld 1996, p |
contrefort | Elément de maçonnerie faisant saillie sur un mur, sous forme de pilier et destiné à le renforcer. |
bardage | Revêtement extérieur vertical réalisé en planchette de bois (voir bardeau). |
ballet | Porche abritant l'entrée d'une église. |
pavillon de ciboire | C'est une pièce d'étoffe destinée à recouvrir un ciboire ou un ciboire des malades lorsqu'il contient des hosties consacrées |
pathétique | Mode de réception du spectacle provoquant la compassion |
chevet | extrémité d'une nef d'église,derrière l'autel ,concluant le choeur. |
entre-parleurs | Terme ancien pour désigner les membres d’une distribution |
intertextualité | Phénomène selon lequel un texte - voire même une œuvre d'art - semble se situer à la jonction de plusieurs discours dont il serait la relecture ou la reprise |
pantalonnade | Farce burlesque centrée sur le personnage de Pantalon, vieillard jaloux et dupé |
pilastre | Saillie rectangulaire engagée dans le mur et comportant le même ordre que la colonne. |
durand | Archiviste départemental de la somme |
bannière | Etendard de confrérie encore porté dans les processions |
missel | Du latin "missalis liber" |
dalmatique | Ornement liturgique du diacre |
ciboire | Vase sacré contenant la réserve eucharistique après la messe |
corporal | C'est un linge blanc, sacré et bénit, en lin ou en chanvre, généralement de forme carrée, que l'on place sur un autel pendant la messe et sur lequel repose tout vase contenant le saint sacrement. |
dce | Dossier de Consultation des Entreprises. |
cartel | généralement la plus petite unité non interprétative |
epi de faîtage | Ornement en terre cuite, en faïence ou même en métal |
perches | Pièces de bois horizontales enfilées dans des gaines prévues à cet effet et qui maintiennent les toiles en haut, au milieu et en bas |
proscenium | Voir Avant-scène. |
barbacane | meurtrière ; ouverture étroite et verticale qui, insérée dans la maçonnerie, permet l'écoulement des eaux pluviales. |
cloches | Nos églises conservent beaucoup de cloches anciennes |
larmier | Élément de la corniche destiné à protéger la pierre contre l'eau de pluie |
danse-théâtre | Forme de danse où le caractère épuré des mouvements classiques fait place à une expression communicatrice proche du théâtre ; on y introduit parfois du texte. |
*acter | Anglicisme (to act, ou dérivé de « acte » et « acteur ») |
temporalité | Caractère de ce qui existe dans le temps |
présupposé | Implications qui dépassent les simples énoncés explicites et se déduisent, par convention ou par association, de ce qui est visible ou énoncé |
écran paranoïaque | Texte, scène ou tableau qui, pour le lecteur ou le spectateur, fait l’objet de projections mentales plus que de réception critique |
baroque | Se dit d'un style caractérisé par la liberté des formes et la profusion des ornements |
coulisse | Glissière permettant le déplacement des panneaux décoratifs qui sont généralement distribués en paire de chaque côté de l'espace de jeu, et qui ont pour double fonction de dissimuler les dégagements latéraux et d'accentuer l'effet de perspective créé par le cyclorama |
poétique | Nom : traité, voire théorie de la poésie dramatique et lyrique |
italienne | Répétition sans costume, mouvement ni technique, les acteurs étant parfois distribués en position frontale |
métalangage | 1 |
tailloir | plateau carré ou polygonal posé le chapiteau d'une colonne |
abside | extrémité d'une église, derrière le chur. |
orchestre | 1 |
arbalétrier | Charpente : pièce parallèle au rampant de la toiture qui supporte les pannes. |
det | Direction de l'Exécution des contrats de travaux. |
waki | Faire-valoir du shité dans un intermède traditionnel du nô |
cathèdre | La cathèdre est le siège d'où l'évêque préside les cérémonies |
séquence | en médiation comme en cinéma, la séquence est une unité narrative, mais à la différence du cinéma la séquence n'est pas liée à une unité de lieu et de temps. |
arcade | ensemble composé d'un arc et des montants qui le soutiennent |
mausolée | Monument (de grande taille ou de grande qualité) élevé à la mémoire d'un défunt. |
rose | Grande baie circulaire décorant les façades d'églises pour éclairer l'intérieur. |
avant-scène | Partie de la scène comprise entre la rampe et le cadre de scène |
act | Assistance au Maître d'Ouvrage pour la passation des contrats de travaux. |
baldaquin | Construction en forme de dais, en bois ou en pierre, surmontant le maître-autel ou les autels latéraux ; la plupart datent du XVIe siècle. |
croisillon | partie débordante du transept d'une église. |
barlong | De forme rectangulaire |
cadre de scène | Dans un théâtre à l’italienne, architecture qui encadre la scène du côté de la salle et marque la limite de celle-ci |
compagnie de théâtre | Société de production dont les statuts sont normalement soumis aux lois du commerce (avec conseil d’administration, exécutif, etc.) |
bénitier | Récipient contenant l'eau bénite à l'entrée de l'église, en pierre, parfois en métal ou encore constitué d'un coquillage. |
bo | bande originale (sonore). |
claveau | Pierre taillée en forme de coin composant l'appareillage d'un arc. |
orant | Sculpture, souvent funéraire, représentant un personnage priant. |
architrave | Pièce droite ou partie inférieure de l'entablement reposant sur les chapiteaux et reliant deux colonnes. |
liens | Oeuvres de Galilée (bibliothèque Gallica). |
discipline | Ensemble spécifique de connaissances qui a ses caractéristiques propres sur le plan de l'enseignement, de la formation, des mécanismes, des méthodes et des manières. |
ogive | chacun des deux arcs diagonaux qui se croisent sous l'arête d'une voûte pour en former l'ossature (gothique). |
hémistiche | Moitié d'un vers, marquée par un repos ou césure |
troupe de théâtre | Groupe de comédiennes et comédiens réunis de façon relativement artisanale autour de projets de représentation |
article de g. chiurazzi | Livres sur Hegel (bibliothèque Gallica). |
miséricorde | éléments en saillie situés sous les strapontins des stalles et sur lesquels pouvaient s'appuyer les prêtres pendant les parties de l'office où ils devaient rester debout |
diorama | habituellement une reconstitution en volume qui permet de présenter un personnage, un animal, dans son contexte ou son environnement |
brechtien | Particulier aux pièces et théories de Bertotl Brecht. Se dit des textes dramatiques ou scéniques qui suivent ses préceptes, notamment le recours au style épique, l’utilisation de procédés de distanciation et la vision de la mise en scène comme lecture |
déclamer | Dire un texte |
règle des trois unités | Selon l'esthétique classique, cette règle impose de représenter une seule action ( Unité d'action à , en un jour ( Unité de temps ) et un seul lieu ( Unité de lieu à |
interpréte | Personne dont le jeu donne vie et sens à une œuvre destinée à la scène (danse, musique ou théâtre). |
comédie de situation | Comédie où le rire est provoqué par la disposition des personnages ou des événements : personnages disparates, gestuelle inappropriée ou répétitive, costume ridicule, connivence supposément secrète avec le public aux dépens d’un faire-valoir. |
deus ex machina | Personnage - ou événement - dont l'occurrence opportune ou l'intervention conclusive, aidée parfois de la machinerie scénique, permet à l'auteur de couper court au développement d'un scénario, de façon à éviter la catastrophe (ex |
tableau | De très nombreux tableaux sont présents dans nos églises, exposés à la vue des visiteurs et des fidèles ou stockés dans les sacristies |
distribution | Répartition des rôles |
commedia dell'arte | Forme du théâtre comique ambulant renouant en Italie au XVIe siècle avec une tradition antique |
cathédrale | Du latin cathedra : siège épiscopal |
parabase | Désigne, dans le théâtre grec, une avancée du chœur vers le public en vue de permettre au coryphée de lui transmette les opinions et les recommandations de l'auteur |
captatio benevolentiæ | Expression latine désignant le moment où, dans certaines pièces, un interprète ou le directeur réclame l’indulgence du public |
gestuelle | Ensemble et mode des mouvements d'un acteur ou d'un spectacle |
cartouche | Ornement sculpté ou dessiné, en forme de carte à demi déroulée, et, par extension, tout ornement entouré de vide destiné à recevoir une inscription, une devise ou des armoiries. |
dénotation | Ensemble des éléments fondamentaux et permanents du sens d'un mot |
prédelle | Soubassement d'un retable, généralement divisé en petits panneaux peints ou sculptés. |
pinacle | Faîte d'un édifice |
paraphrase | Développement explicatif d'un texte, qui n'en est parfois rien de plus que le déplacement ou le dédoublement synonymique des composantes. |
captatio benevolentiæ | Expression latine désignant le moment où, dans certaines pièces, un interprète ou le directeur réclame l’indulgence du public. |
chapiteau | Pierre ornée couronnant une colonne ou un pilier |
rampant | Partie inclinée d'un toit. |
damasquinage | Le « damasquinage » consiste à incruster de petits filets d'or ou d'argent dans un objet de métal |
réception | Attitude et activité du spectateur confronté au spectacle |
situation d'énonciation | Lieu et circonstances de production d'un acte d'énonciation, tant dans la lecture du texte dramatique que dans la mise en scène |
métope | Dalle placée entre deux triglyphes sous les chéneaux des temples doriques |
monologue | Scène durant laquelle un personnage s'exprime seul sur scène. |
clocheton | Petit clocher |
baroque | Se dit d'un style qui s'est développé aux XVIème, XVIIème et XVIIIème siècles |
cordelière | Corde à plusieurs noeuds que les religieux et religieuses de St-François portent autour du corps |
mélodrame | Drame populaire, souvent accompagné d'une mélodie, caractérisé par l'invraisemblance de l'intrigue et des situations, la multiplicité des épisodes violents, l'outrance des caractères et du ton |
clef de voûte | Claveau placé au sommet de la voûte, à la rencontre des nervures de l'ogive. |
arc en plein cintre | arc en demi cercle. |
pale | La pale est un linge sacré et bénit, empesé, de forme carrée, qui sert à recouvrir le calice et la patène utilisés pendant la messe. |
confessionnal | Le confessionnal est composé d'une loge centrale munie d'une porte, pour le prêtre, et de deux loges de pénitents |
rose | baie circulaire, souvent placée dans la partie haute d'une façade lorsqu'elle est de grand format ou surmontant des lancettes au dessus du triforium lorsqu'elles sont de petits formats. |
chapier | Le meuble spécial destiné aux chapes |
tombale | Pierre tombale ou dalle funéraire : pierre recouvrant une tombe ornée d'inscriptions et parfois de l'effigie du défunt gravée en creux |
armoire eucharistique | Excavation ménagée dans le chevet et proche de l'autel pour la conservation de l'eucharistie avant l'usage du tabernacle. |
théâtre total | Action scénique ouverte à tous les arts (ex |
chevet | Partie externe du chœur d'une église |
happening | Spectacle qui exige la participation ou prévoit une réaction du public, et qui cherche à provoquer une création artistique spontanée, éventuellement collective |
corde ! | Pour combattre les incendies, on suspendait au-dessus de la scène des seaux d'eau qu'une corde permettait de faire renverser |
apd | Études d'Avant-Projet Définitif. |
espace scénique | Espace proposé sur scène par le scénographe et ses collaborateurs. |
sotie | Pièce destinée à être jouée par de prétendus simples d’esprit |
diachronie | Évolution des faits artistiques ou linguistiques dans le temps |
motte féodale | Tertre artificiel sur lequel était construit un château médiéval pour augmenter sa capacité défensive. |
tragi-comédie | Tragédie dont l'action est romanesque et le dénouement heureux |
acte | Division externe de la pièce en parties d'importance sensiblement égale, en fonction du déroulement de l'action |
aître | Le mot "aître" est dérivé du latin "atrium" qui désigne l'enclos d'un monastère, le parvis d'une église ou encore son cimetière |
dispositif scénique | Appareil ou appareillage utilisé dans l’organisation de l’espace de jeu, notamment pour faciliter les déplacements, comme le pont roulant ou la scène tournante |
stance | Suite de vers formant un tout et insérée dans un ensemble qui en détermine les règles métriques |
dénouement | Voir Nœud. |
arc formeret | arc placé à la rencontre d'une voûte avec le mur portant. |
ronde bosse | Sculpture ne s'appuyant sur aucune surface, se détachant du fond et dont on peut voir toutes les faces. |
pinacle | Pyramide ou cône couronnant un support vertical |
colombage | structure de bois dont les vides sont remplis par une maçonnerie légère, nommé aussi pan de bois. |
arbre de jessé | C'est la représentation de l'arbre généalogique du Christ |
châsse | Coffre contenant les reliques d'un saint |
penture | Élément de ferronnerie, continuité des gonds d'une porte ou d'une fenêtre et ayant souvent un aspect décoratif. |
dramaturgiste | Spécialiste de la dramaturgie (allemand et anglais dramaturg) |
estrade | Petit plancher surélevé, pouvant servir de tribune ou de tréteau ; du latin stratum, pavé |
clef de voûte | pierre placée à l'intersection des nervures qui soutiennent une voûte |
cage de scène | Dans un théâtre, volume dont la base est déterminée par la scène, borné en hauteur par les combles d’une part et par les fondations d’autre part |
mode ou style direct | Discours rapporté dans sa forme originale, sans terme de liaison, après un verbe de parole |
analepse | Retour en arrière, ramenant sur scène un moment du passé |
absidiole | chapelle semi-circulaire autour de l'abside. |
vert | On connaît mal l'origine du malaise des comédiens à jouer dans un décor où le vert est dominant |
piscine | Elle se trouve normalement à gauche de l'autel, côté épitre |
bas-relief | Sculpture faisant corps avec un fond uni et se détachant peu en comparaison du demi-relief et surtout du haut-relief où les éléments sont en partie détachés du fond.(Photo : haut-relief) |
arc en mitre | arc formant un angle. |
unité de temps | Caractère d'une pièce dont l'action dramatique se déroule sur une durée ne dépassant pas celle de la représentation, ou celle d'une révolution du soleil |
assistant à la dramaturgie | Voir Dramaturgiste. |
régie | Organisation matérielle du spectacle selon un cahier de charge, ce à quoi on réduisait autrefois la mise en scène (mise en place) |
tétramorphe | Ensemble des quatre figures (l'homme, l'aigle, le lion et le bœuf) symbolisant les évangélistes (Mathieu, Jean, Marc et Luc) |
billette | En architecture, on entend par billettes une série de petits parallélogrammes ou portions de cylindres séparés par des vides, et dont les rangs plus ou moins nombreux se chevauchent |
stalles | En bois, garnissant et parfois fermant le choeur, les plus anciennes dans l'Eure datent du XIVe siècle |
tunique | Vêtement liturgique du sous-diacre |
kabuki | Forme traditionnelle du théâtre japonais, exclusivement masculine, caractérisée par la violence des intrigues et la somptuosité des costumes et des maquillages |
philologie | Étude d'une langue par l'analyse des textes (ex |
arcature | Série d'arcades juxtaposées qui jouent un rôle décoratif |
transept | partie transversale du plan de l'église, qui coupe la nef principale à la croisée du transept. |
fait social | Se dit des actes relatifs à un groupe d'hommes, conçu comme une réalité distincte, notamment les actes de langage |
antihéros | Personnage principal ne correspondant pas aux caractéristiques ou aux valeurs du héros traditionnel (ex |
récitatif | 1 |
mitre | Coiffe liturgique portée par les évêques et autres prélats lors de cérémonies solennelles |
panne | Pièce de charpente posée horizontalement |
soliloque | Discours d'une personne qui se parle à elle-même; monologue intérieur |
echarpe | Longue pièce de bois inclinée, généralement couplée à une seconde symétriquement opposée, destinée à raidir les chevrons. |
ogive | Nervure diagonale qui renforce et soutient la voûte. |
thème | Sujet, idée, proposition qu'on développe dans une œuvre |
godron | Composé de renflements ce motif est typique de l'art roman |
médiateur | "acteur doté de la capacité de traduire ce qu’il transporte, de le redéfinir, de le redéployer, de le trahir aussi" (Latour, 1991). |
colonne | Pilier généralement cylindrique |
sanctuaire | Partie de l'église où se déroulent les cérémonies liturgiques autour de l'autel |
buto | Forme japonaise contemporaine de danse-théâtre |
pinacle | couronnement d'un massif de maçonnerie vertical servant d'une part à améliorer par son poids la stabilité de l'ensemble et d'autre part à décorer les renforts (cf |
calvaire | C'est la représentation de la Passion du Christ |
péripétie | Événement imprévu qui engendre un retournement de situation. |
jubé | Clôture monumentale, en général surmontée d'une galerie, séparant le choeur de la Nef dans certaines églises et servant aux lectures et chants liturgiques. |
énonciation | Mise en fonctionnement de la langue dans un acte individuel d'utiisation, dont le produit est l'énoncé |
damas | Etoffe tissée et dont les mêmes dessins apparaissent à l'endroit en satin sur fond de taffetas, et à l'envers en taffetas sur fond de satin |
séquence | Terme de narratologie : suite orientée de fonctions; un segment formé de plusieurs propositions qui donne au lecteur l'impression d'un tout achevé, d'une histoire, d'une anecdote |
deixis | Situation d'énonciation |
antependium | Nom que l'on donne au devant d'autel lorsque ce dernier est en matériaux souples : tissu, cuir ou autre |
manteau d'arlequin | C'est le double encadrement intérieur du cadre de la scène (deux montants verticaux, un déroulé horizontal) |
rinceau | Motif décoratif représentant une tige végétale avec feuilles ou fruits. |
expression | Voir Élocution. |
césure | Repos à l'intérieur d'un vers, après une syllabe accentuée |
arc de décharge | Arc construit au-dessus d'un linteau de fenêtre ou de porte |
beffroi | Dans un clocher, l'assemblage en bois qui soutient les cloches |
tympan | espace compris entre le linteau et l'archivolte d'un portail |
transept | Nef transversale de l'église qui donne à celle-ci la forme symbolique d'une croix |
romane | Période allant de la fin de l'époque carolingienne (fin du Xème siècle) à la fin du XIIème siècle, caractérisée en architecture, peinture et sculpture par le style dit roman |
cul-de-lampe | élément proche de la console, disposé en saillie sur un mur afin de porter une charge et s'évasant comme un chapiteau. |
valet | Voir Suivante. |
abaque | couronnement rectangulaire d'un chapiteau. |
stuc | Composition de plâtre ou de poussière de marbre gâché avec une solution de colle forte, utilisé comme enduit ou matériau de moulage et de sculpture qui imite le marbre. |
inspiration | Théorie platonicienne selon laquelle, au moment de la création, la pensée d'un poète, placé pour lors en état de démence (de-mens), lui vient d'un dieu |
travée | Portion de voûte comprise entre deux colonnes ou deux points d'appui |
ébrasement | agencement en oblique, par rapport au plan du mur, des piédroits d'une baie ou d'un portail. |
linteau | rectangle de pierre horizontal destiné à supporter la maçonnerie au-dessus d'une ouverture (notamment le tympan) au-dessus du portail |
abside | Partie de l'église comprenant le choeur et le maître-autel |
saynète | Petite comédie bouffonne, à mi-chemin entre l'opérette et la chanson comique; genre tiré du théâtre espagnol |
langue de bois | Discours obligé, paroles dictées par une fonction |
histoire | "Un petit noeud ou un complexe de cette façon d'être relié que nous appelons la pertinence" (Bateson, 1996) |
couturière | Répétition où se font les retouches aux costumes |
costière | Rainure pratiquée dans le plancher de scène, parallèle au manteau d’Arlequin, permettant d’amener en position ou de retirer de la scène les châssis des décors |
déguiser | Changer de guise, de manière |
concept | abstraction qui sert de référent fondateur à toute forme de création, en particulier lors de la création en groupe |
théâtre à thèse | Voir Thèse. |
porche | Construction placée devant la façade de l'église |
pont volant | Voir Passerelle. |
clef de voûte | Pierre en forme de coin |
bateleur | Amuseur public (cirque, foire, rue...); applicable surtout à celui qui fait des tours d’escamotage. |
console | Socle sur lequel repose une statue |
monologue | Scène parlée, à un personnage; discours apparemment adressé à soi-même, ou à un auditoire dont on n'attend pas de réponse |
tirade | Long discours débité par un personnage. |
cyclorama | Toile formant l’horizon de façon semi-circulaire de telle sorte qu’il n’y ait pas de découverte. |
pubère | En grec, parler avec une voix qui mue, incertaine, se dit tragizô [τραγιζω], chevroter. |
intrados | Face intérieure d'un arc, d'une voussure |
balustre | support vertical d'une balustrade. |
paradigme | Axe des substitutions |
choeur | Partie de l'église généralement réservée au clergé |
dais de procession | C'est un dais mobile pouvant abriter le saint sacrement |
tabernacle | Armoire où est conservée l'Eucharistie depuis le XVIe siècle |
beurré | Se dit d'un joint de maçonnerie |
diégèse | Imitation d'un événement en paroles, en racontant l'histoire sans représenter ses personnages |
auteur dramatique | Voir Dramaturge. |
jeu de rôle | Joute théâtrale où les comédiens simulent des batailles ou des combats sportifs |
texte dramatique | Écrit où la théâtralité est explicitement inscrite |
tombeau | Autre type d'autel. |
linteau | Partie supérieure d'une ouverture, soit en pierre, soit en bois, reposant sur les jambages de l'ouverture |
rose | baie circulaire, souvent placée dans la partie haute d'une façade lorsqu'elle est de grand format ou surmontant des lancettes au dessus du triforium lorsqu'elles sont de petits formats |
lancette | Baie étroite |
piédroits | parties verticales d'une ouverture |
dénouement | Après la résolution du nœud, dernier moment de l'action qui fixe le sort de tous les personnages. |
contrefort | Bloc de maçonnerie en saillie sur un mur pour le renforcer à l'endroit des poussées. |
répertoire | Ensemble des pièces jouées par un même théâtre (angl |
capitulaire | Désigne la salle où se réunit le chapitre de chanoines ou de moines |
polyptyque | Œuvre peinte ou sculptée formée d'un panneau central fixe fermée par plusieurs volets latéraux pouvant se replier les uns sur les autres |
découverte | Hiatus entre les différents éléments d’un décor laissant voir les coulisses ou les cintres. |
pièce-bien-faite | Pièce brillante par la virtuosité de l'intrigue et l'agencement parfaitement logique de l'action. |
calice | Vase sacré en métal précieux, en cuivre ou même en étain, destiné au vin consacré à la messe. |
noue | arête rentrante formée par l'intersection de deux pans de toiture ou tuile creuse dans laquelle s'écoulent les eaux de pluie. |
médiatique | terme employé pour rendre compte de la multiplicité des médias et des narrations / mises en scène associées et qui induisent des comportements, des pratiques différentes |
trope | Figure, dans un segment de discours - artistique ou littéraire - , par laquelle on renvoit à un sens qui n'est pas habituel, qu'il soit indiqué ailleurs ou pas dans le discours en question |
exposition | Début de la pièce, qui doit donner au spectateur les éléments d'information nécessaires à la compréhension de l'action. |
acanthe | Ornement d'architecture représentant une feuille d'acanthe, caractérisant les chapiteaux corinthiens. |
dédicace | La consécration d'une église, ou sa dédicace, est marquée par des inscriptions gravées et par douze croix peintes aux endroits oints par l'évêque. |
colombage | Ossature apparente de bois comblée de matériaux léger |
synopsis des médias | le synopsis est un résumé de l'histoire proposée par un média (dans notre cas : scénario film, programme multimédia, commentaire sonore, etc.) |
aps | Études d'Avant-Projet Sommaire. |
articles sur leibniz | Bibliographie d'études sur Leibniz (anglais). |
pièce à thèse | Voir Thèse. |
décor | Arrangement de la scène en vue de donner aux spectateurs un référent spatial |
article de c. audard | Rawlshyperlinks |
fiction | Forme de discours qui fait référence à un univers connu, mais à travers des personnes et à des événements imaginaires.Pavis 1987, p |
vraisemblance | Caractère par lequel les actions, les personnages et les lieux représentés sont perçus par le public comme une imitation de la réalité et non comme une réalité vraie ou surnaturelle |
quiproquo | Situation de méprise qui fait prendre un personnage - ou une chose - pour un autre |
redondance | Propriété des signes de réitérer l'information, en l'inscrivant notamment dans des systèmes signifiants différents (ex |
bas-côtés | Nefs latérales d'une église |
focalisation | Action de mettre au foyer, de faire converger vers un point |
geminé | fenêtres, arcades, colonnes groupées par deux sans être en contact (souvent séparés par une mince colonne). |
anglo-normand | Se dit de la période où, suite à la conquête de l'Angleterre par Guillaume de Normandie en 1066, les influences mutuelles politiques, mais aussi culturelles -et donc architecturales- entre les deux côtés de la Manche sont importantes |
occurrence | Apparition d'une unité linguistique dans le discours |
prolepse | Interruption pour suppléer à l'absence d'un mot ou d'un argument, sentie ou prévisible, dès le début de la réplique d'un autre |
reliquaire | Coffret précieux contenant une parcelle du corps d'un saint |
effet de réel | Effet qui intervient lorsque le spectateur a le sentiment d'assister à l'événement représenté, d'être transporté dans la réalité symbolisée et d'être confronté à un événement aussi vrai que nature |
arcature | ornement composé de plusieurs petites arcades ouvertes ou aveugles. |
perizonium | Linge entourant les hanches du Christ en croix. |
tympan | Partie située au-dessus du portail d'une église entre le linteau et l'archivolte |
pageant | Mot anglais tiré du moyen latin pagina, au sens de scène ou extrait de pièce |
arc | Courbe dessinée par la voûte ou la partie supérieure d'une ouverture. |
variétés | Spectacle présentant diverses attractions (chansons, danses, etc) |
fosse d’orchestre | Dans certains théâtres : espace réservé aux musiciens, entre la scène et le parterre, légèrement surbaissé de façon à na pas obstruer la vue. |
pluridisciplinaire | Juxtaposition de disciplines plus ou moins voisines dans des domaines de la connaissance (ex |
pathos | Émotion ou passion, amplifiée ou simulée, susceptible, par des techniques propres au théâtre, de susciter ou manipuler dans le public des sentiments naturels de pitié ou de terreur, en vue de provoquer la catharsis. |
sous-littérature | Écrits qui sont signes (c'est-à-dire transitifs) plus que textes, et situés à l'intérieur de l'idéologie plutôt que contre |
mascaron | Sorte d'ornement décoratif ayant la forme d'un masque anthropomorphique (anthropomorphe : qui a la forme, l'apparence d'un homme). |
médiation muséographique | la médiation muséographique est une médiation qui s'appuie sur un objet-structure et le transforme en objet-parlé |
clôture | les clôtures enserrent le choeur et les stalles des chanoines |
patène | Vase sacré ayant la forme d'un petit plat destiné à recevoir l'hostie pendant la messe. |
pendrillons | Rideaux latéraux destinés à cacher les coulisses. |
motif | Image visuelle ou sonore, modulée ou répétée, faisant partie d'un thème |
bruiteur | Technicien chargé du bruitage. |
jardin | Côté gauche de la scène, vue prise de la salle |
culée | Pilier ou pile |
éponyme | Se dit d'un personnage qui donne son nom à la pièce (Antigone de Sophocle, Hamlet de Shakespeare, Phèdre de Racine. |
télé-théâtre | Pièce de théâtre scénarisée spécifiquement ou adaptée pour la télévision. |
interface | dispositif qui peut être matériel ou immatériel, sous forme de données (logiciel) qui permet des échanges entre systèmes |
aisselier | Charpente : élément droit ou courbe placé sous une pièce horizontale (entrait retroussé ou faux-entrait). |
sous-texte | Ce qui n'est pas dit explicitement dans le texte dramatique, mais ressort de la façon dont le texte est interprété par le comédien |
métaphore | Trope par lequel on utilise un effet visuel, un mot ou un son pour un autre |
marmouset | Figurine grotesque que l'on trouve sur les miséricordes, les culs de lampes ou encore en partie haute des chenets. |
courtine | Mur reliant deux tours. |
-textes | Textes (Académie de Toulouse) |
bienséance | Conformité aux conventions littéraires, artistiques et morales d'une époque ou d'un public |
aparté | Mot ou parole que l'acteur dit à part soi (et que le spectateur seul est censé entendre) |
déambulatoire | à l'origine, couloir inventé par Grégoire le Grand pour permettre de circuler autour des reliques |
dormition | Expression ancienne désignant le dernier sommeil de la Vierge Marie, au cours duquel eut lieu son ascension. |
artaudien | Particulier aux pièces et théories d’Antonin Artaud |
trumeau | Architecture : Pilier ou colonne qui divise la porte en deux et soulage le linteau |
mimodrame | Action dramatique représentée en pantomime ou langage corporel |
tétramorphe | représentation des quatre évangélistes sous leurs formes allégoriques (l'ange pour Saint Matthieu, l'aigle pour Saint Jean, le taureau pour Saint Luc et le lion pour Saint Marc) |
encensoir | Petit-vase brûle-parfum pour l'encens utilisé à différents moments d'un office : procession d'entrée, avant la lecture de l'Évangile, durant l'Offertoire |
génoise | Corniche composée d'une frise de tuiles rondes. |
poulailler | Galerie supérieure |
fabrique | * Petite construction, souvent à caractère romantique, édifiée dans un parc ou un jardin |
crucifix | Chaque autel comporte l'effigie du Christ en croix |
muséologie | étude de l’institution muséale, de sa fonction sociale mais aussi science de l'organisation des musées, de la conservation et de la mise en valeur des collections. |
aparté | Propos tenus par un personnage à l'insu des autres. |
transi | Forme de gisant |
galerie | 1 |
néologisme | Emploi d'un mot nouveau (ex |
ionisation | Voir Enthousiasme. |
tour de scène | Voir Cintre. |
scène tournante | Plateau sirculaire sur lequel sont placés tous les décors d'une pièce ou d'un acte, et qu'on fait pivoter à chaque changement de lieu scénique. |
rhapsode | Personne ou personnage interprétant sur un mode récitatif des extraits de poésie épique |
baignoire | Loge aménagée légèrement au-dessus du parterre |
dramatisation | Action de composer une dramatique, un scénario. Transformation d’un concept ou d’une idée en image dans le processus du rêve ou du mythe. |
remplage | réseau de pierre garnissant une rose ou la partie supérieure d'une arcature. |
frontispice | Page titre |
nécropole | Vaste cimetière antique, souterrain ou à ciel ouvert. |
contexte | Ensemble des circonstances qui entourent l'émission du texte linguistique et/ou de sa représentation, circonstances qui en facilitent ou permettent la compréhension |
opsis | Ce qui est visible, livré au regard. |
voussure | Courbure d'une voûte, d'un arc |
bruitage | Reconstitution des bruits d’ambiance pour accompagner une dramatisation (cinéma, jeux vidéos, radio, télévision, théâtre. |
nœud | Ensemble des motifs qui dérangent l'immobilité de la situation initiale et qui entament l'action; Pavis 1987, p |
palmette | Ornement en forme de palme, de feuille de palmier. |
chandelier | Support de cierge en bois, en cuivre et parfois en argent |
écriture scénique | Façon d'utiliser l'appareil théâtral pour mettre en scène les personnages, le lieu et l'action qui s'y déroule |
merde ! | Les comédiens, se considérant peu choyés par la chance, comme les soldats de Cambronne, croient la contourner en se souhaitant la malchance. |
arc en plein cintre | Arc en demi cercle |
plaudite | Terme latin désignant le moment où, dans certaines pièces, un interprète ou le directeur invite le public à manifester à la troupe sa satisfaction. |
assise | désigne une rangée de pierre dans une construction |
bossage | Pierre taillée, brute ou sculptée, faisant saillie sur un mur. |
laïus | Adresse, bref discours d’un personnage, à la manière de Laïos, père d’Œdipe. |
sarcophage | Cercueil de pierre |
cénotaphe | Monument à la mémoire d'une personne, d'un groupe, et dont la forme rappelle un tombeau |
unité de lieu | Caractère d'une pièce qui, suite à une mise en question des mansions présentées en parallèle sur les praticables médiévaux, se déroule dans un seul espace scénique |
paradis | Galerie supérieure |
culée | élément de maçonnerie destinée à contenir la poussée d'un arc, d'une voûte |
voix off | commentaire, dialogue prononcé par des personnages qui n'apparaissent pas à l'image au moment où le texte est énoncé |
baiser de paix | Petite tablette ou patène présentée à l'origine aux fidèles avant la communion pour remplacer l'embrassement et encore en usage à l'offertoire dans quelques paroisses. |
ludique | Voir Jeu. |
convention théâtrale | Ensemble des présupposés idéologiques et esthétiques, explicites ou pas, qui permettent au public de recevoir correctement la pièce; entente selon laquelle cette dernière correspond à des normes connues et acceptées |
hypertexte | ensemble de documents reliés entre eux par des liens appelés hyperliens en informatique. |
épisode | Chez les Grecs, partie composée de tirades ou de stichomythies et située - outre le prologue et l'exode - entre les interventions chantées et dansées du chœur |
déclamateur | Personne qui abuse du ton oratoire |
réplique | Réponse à un discours; riposte; texte dit par un personnage au cours d'un dialogue |
balustre | Support vertical d'une balustrade souvent en forme de colonnette renflée |
sémiotique | Science des signes qui étudie les éléments différenciateurs (ou paradigmes, contribuant au sens par la différence) et les combinaisons avérées de tels éléments sur le plan syntaxique |
triforium | Série de baies ajourées ou d'arcatures aveugles situées sur les murs latéraux d'une nef. |
arc-boutant | arc extérieur à l'édifice, accolé à un mur pour transférer la poussée d'une voûte vers un pile de pierre appelée culée |
intertexte | Ensemble des fragments cités dans un corpus donné; relation d'ordre textuel résultant de la mise en présence de deux ou plusieurs discours de l'art ou de l'écriture |
contrepoint | Série de lignes thématiques ou d'intrigues parallèles qui se correspondent selon un principe de contraste |
canular | Blague, farce, fausse nouvelle |
double énonciation | Relation spéculaire entre le discours d'un personnage et celui de l'auteur |
arc-boutant | Arc extérieur qui permet de transférer la poussée d'une voûte |
lierne | nervure liant la clef de voûte aux clefs de voûtes secondaires des tiercerons |
rideau | Le rideau d'avant-scène cache la scène au spectateur |
avant-scène | Partie de la scène allant du rideau de scène au manteau d’Arlequin |
scénographie | Art de l'organisation de l'espace théâtral |
anépigraphique ou anépigraphe | Se dit d'une pierre tombale, d'une dalle ne portant pas d'inscription |
proxémique | Discipline étudiant le mode de structuration de l'espace humain : type d'espaces, distances observées entre les personnages, organisation de l'habitat |
mariette | Petit oratoire édifié pour témoigner de la foi et de la gratitude de croyants venus solliciter la grâce de la Vierge Marie |
orant | personnage représenté dans l'attitude de la prière, souvent dans le cadre d'une sculpture funéraire. |
texte scénique | Produit de la mise en scène, qu'elle ait été produite ou non à partir d'un texte dramatique |
paratexte | Ensemble des énoncés qui entourent un texte |
intrigue | Ensemble des événements qui constituent le déroulement de la pièce |
pieta | Œuvre peinte ou sculptée représentant la Vierge tenant dans ses bras le corps du Christ |
représentation | Action (ou son résultat) de simuler, par un langage ou un jeu, la présence d’une personne, d’un lieu, d’un événement. Il peut y avoir représentation en arts visuels, en danse ou au théâtre. |
ferme | Elément d'une charpente de forme triangulaire constitué d'un assemblage statique en bois ou en métal portant le faîte d'un comble par l'intermédiaire de pièces longitudinales appelées pannes, placées parallèlement les unes aux autres. |
orgue | Instrument de musique à vent, composé de tuyaux que l'on fait résonner par l'intermédiaire de claviers, en y introduisant de l'air au moyen d'une soufflerie.Le meuble dans lequel il est contenu est le "buffet d'orgue" |
crèche | A l'origine ce mot désignait la mangeoire, le râtelier pour les animaux dans une bergerie |
pan de bois | ossature en bois dont les intervalles sont comblés par des matériaux de remplissage. |
chapiteau | pierre qui couronne le fut d'une colonne, généralement composé d'un tailloir et d'une corbeille (voir ces mots) |
entablement | Ensemble reposant sur des colonnes et comprenant l'architrave, la frise, la corniche et le fronton |
phylactère | 1 |
abaque | Couronnement rectangulaire d'un chapiteau |
chaire | Tribune fréquemment surmontée d'un abat-voix (dais rabattant la voix du prédicateur vers les fidèles) et comportant souvent de belles ornementations.Elle se trouve généralement au milieu de la nef, le long d'un mur ou d'un pilier, pour que le prédicateur puisse être entendu par le plus de monde possible |
idéologème | Maxime qui est sous-jacente à un énoncé et dont le sujet circonscrit un champ de pertinence particulier |
argument | Résumé de l'histoire que la pièce met en scène |
espace dramatique | Construction imaginaire, par le lecteur et même le spectateur, de la structure spatiale du drame. |
rhétorique | Nom : traité, voire théorie de la composition et de l’expression efficaces |
table | Désigne les premières familiarisations en groupe avec le texte. |
engoulant | Au Moyen-Âge engouler signifiait avaler |
mise en scène | Ensemble des moyens d'interprétation scénique (scénographie, musique, jeu...); activité qui consiste à agencer ces moyens |
figure | Représentation par le langage (vocabulaire ou style) |
théâtre à l'italienne | Salle d’opéra mise progressivement au point pour les besoins de l’art lyrique en Italie au 17° siècle |
multidisciplinaire | Juxtaposition de disciplines diverses, parfois sans rapport apparent entre elles (ex |
lointain | La partie de la scène la plus éloignée du spectateur, près du mur de fond. |
costumier | Espace de rangement des costumes |
leitmotiv | Thème musical associé à un personnage ou à une situation |
théâtre de boulevard | Divertissement présentant des pièces au comique conventionnel, données, au XIXe siècle, sur les Grands Boulevards à Paris. |
autel | La table, en pierre ou en bois, (mais dans ce cas une pierre "sacrée" y a été insérée) destinée à la célébration de la messe |
modillon | Corbeau orné (souvent de figures grotesques)et dans ce cas il est dit zoomorphe, placé sous une corniche comme pour la soutenir |
tranche de vie | Objectif du théâtre réaliste, selon lequel une pièce doit être jouée comme un événement quotidien, sans distanciation, sans stylisation |
corbeau | Élément saillant du mur soutenant une poutre ou une corniche |
épilogue | Discours récapitulatif à la fin d'une pièce |
canevas | Résumé ou scénario d'une pièce pour les improvisations des acteurs, en particulier ceux de la commedia dell'arte |
dialogisme | Caractère dialogué d'un texte non théâtral (ex |
idiolecte | Utilisation personnelle d'une langue par une seule personne |
architrave | dans une colonnade, pièce rectiligne de longue portée reposant sur les colonnes par l'intermédiaire des chapiteaux. |
scène-à-faire | Scène qui, dans l'esthétique propre à la la pièce-bien-faite, est attendue du public pour la résolution heureuse de l'intrigue : découverte, reconnaissance, pardon |
imprécation | Vœu de mauvais sort, malédiction |
enfeu | niche abritant un tombeau . |
drame | Action scénique représentée par des personnages |
coyau | Petite pièce de bois inclinée placée en partie inférieure d'un chevron, à l'extérieur du comble, pour adoucir la pente de la base d'une toiture. |
plan | Dans un théâtre à l’Italienne, ensemble technique regroupant selon une ligne parallèle au cadre de scène, une rue, une fausse-rue et deux costières. |
ciborium | Baldaquin qui recouvrait le tabernacle du maître-autel dans les basiliques et églises chrétiennes. |
liens plotiniens | Traité du Beau |
bâtière | forme de toit à deux versants et à pignons découverts |
corbeille | Partie principale du chapiteau. |
répétition | Exercice préparatoire, où on reprend plusieurs fois des passages d'une scène, voire la pièce en entier. |
texte-à-dire | Texte dramatique, sans les indications scéniques. |
phylactère | Archéologie : Banderole à extrémités enroulées portant des légendes du sujet représenté |
balle | Artiste issu d’une famille d’artistes |
loge | 1 |
modèle ou schéma actantiel | Tableau proposé par Greimas et inspiré des structures traditionnelles de la phrase, répartissant les actants (d'un texte ou d'une séquence) dans six cases : sujet et objet, destinateur et destinataire, adjuvant et opposant |
jambe de force | Pièce de charpente verticale ou inclinée placée en partie inférieure d'un chevron ou d'un arbalétrier pour le soutenir. |
châsse ou reliquaire | coffre souvent en forme d'église où l'on garde les reliques d'un saint. |
locutoire | Voir Acte de langage. |
enfeu | niche abritant un tombeau (et souvent un gisant) |
arc doubleau | arc séparant deux parties de voûte ou renforçant un berceau. |
astragale | Moulure de forme semi-cylindrique séparant le chapiteau du fût d'une colonne. |
cour | Côté droit de la scène, vue prise de la salle |
réflecteur | Élément d'un projecteur; dispositif destiné à réfléchir la lumière au moyen de miroirs, de surfaces luisantes ou prismatiques |
comédie | Se définit dès l'Antiquité, par opposition à la tragédie, comme un genre de divertissement, toujours porteur d'une satire sociale, plutôt tournée vers la bourgeoisie |
cornélien | Qualité d’un type d’héroïsme sacrifiant les sentiments au devoir, tel que rendu célèbre par le théâtre de Pierre Corneille |
chasuble | Vêtement liturgique du prêtre à la messe |
rosace | Motif ornementale en forme de rose |
catharsis | Effet de purgation des passions produit sur les spectateurs d'une représentation dramatique non distanciée |
basilique | Titre honorifique donné à certains édifices religieux |
trilogie | Ensemble de trois pièces de théâtre. |
radio-théâtre | Pièce de théâtre scénarisée spécifiquement ou adaptée pour la radio. |
devant d'autel | Partie du parement d'autel, parfois en bois ou en métal, souvent amovible, couvrant la face d'un autel. |
acte | Division externe de la pièce en parties d'importance sensiblement égale, en fonction du déroulement de l'action. |
echauguette | Construction d'angle et en surplomb formant une sorte de petite tourelle, permettant de surveiller les abords d'un manoir, ou d'un château. |
pmr | Personne à Mobilité Réduite. |
modillon | pierre placée à intervalles réguliers sous une corniche comme pour la soutenir |
cage de scène | Voir Cintre. |
bienséance | Conformité aux conventions sociales, la règle des bien séances impose, au XVIIe siècle, de ne pas montrer de violence sur la scène parce qu'elle repose sur une conception raffinée de la civilisation, de la bonne éducation. |
tumulus | Tertre de pierre ou de terre élevé au-dessus d'une sépulture. |
jubé | tribune transversale en forme de galerie, élevée entre la nef et le choeur, dans certaines églises |
unité d'action | Caractère d'une pièce dont la matière narrative s'organise autour d'une fable principale à laquelle les intrigues annexes sont logiquement rattachées |
scène à l'italienne | Espace scénique conçu selon les principes de la Renaissance italienne |
outils de la passion | La Passion du Christ est très représentée : tableaux, sculptures |
lutrin | Pupitre monumental de bois ou de métal destiné à présenter les livres de plain-chant aux choristes |
arc-boutant | Arc partant d'un contrefort , qui enjambe le bas-côté pour transmettre les poussées de la voûte centrale à un organe vertical, la culée, qui sert aussi de contrefort aux voûtes des bas-côtés |
faire-valoir | Personnage tenant un rôle de soutien dans un type particulier de comédie à deux, notamment le burlesque américain, ou slapstick |
satire | Écrit, discours qui s'attaque à quelque chose, à quelqu'un, en s'en moquant |
lambris | Recouvrement en planchettes de bois d'une surface, d'un pan de bois ou d'une voûte. |
colombier | Edifice destiné à loger les pigeons |
sacristie | Pièce annexe de l'église où le prêtre range le matériel nécessaire au culte. |
monuments historiques | Immeubles et environnement protégés au titre de la législation sur les monuments historiques |
lierne | Pièce de bois horizontale placée longitudinalement au comble. |
dialogue | Entretien entre deux personnes |
archiénonciateur | Qui ordonne un réseau de paroles, sans nécessairement adopter le point de vue particulier de l'un des énonciateurs |
acoustique | Adj. : qui a trait à l’écoute |
parterre | 1 |
stichomythie | Dialogue de tragédie où les interlocuteurs se répondent vers pour vers |
lierne | Nervure supplémentaire renforçant la croisée d'ogive |
acrotère | socle disposé aux extrémités ou au sommet d'un fronton, servant de support à une statue, un vase ou tout autre ornement. |
spectateur | Voir Public , deuxième acception. |
navigation | la navigation définit les accès à l’information dans les programmes interactifs multimédia, organise les contenus selon des logiques en étroite relation avec le scénario de l'exposition. |
blue screen | à l'origine il s'agit d'une technique cinéma, facile à mettre en oeuvre aujourd'hui avec la vidéo |
muséographie | "ensemble des notions techniques nécessaires à la présentation et à la conservation des collections dans les musées et expositions" |
registre | bande décorative en sculpture ou en peinture |
attique | Etage placé au sommet d'une construction, et de proportions moindres que l'étage inférieur. |
pilastre | Pilier décoratif rectangulaire en saillie sur un mur |
bas-côté | Nef latérale (des églises peu importantes en ont souvent une) |
du contrat social | J.-J |
berquinade | Terme péjoratif désignant une pièce écrite pour la jeunesse, généralement moralisatrice et fadement optimiste, à la manière d'Arnaud Berquin |
télé-roman | Dramatique télévisée présentée feuilletons quotidiens ou hebdomadaires. |
bauge | Synonyme de torchis |
feux de la rampe | Appareils (bougeoirs, lampes, projecteurs...) éclairant la scène de bas en haut, à partir de la rampe. |
syn | plans de synthèse. |
rideau de fer | Il sépare la scène de la salle afin de limiter les risques de propagation des incendies. |
féerie | Spectacle où apparaissent des personnages surnaturels (dieux et démons, fées et enchanteurs...), exigeant d'ordinaire des effets scéniques considérables |
tierceron | Nervure supplémentaire qui relie la lierne au départ des ogives. |
ep | Études Préliminaires. |
théâtre | À l'origine : point d'observation; apparenté à théorie, point de vue |
gouttereau | mur externe situé sous les chenaux ou les gouttières de la toiture, sur lequel s'égoutte l'eau de pluie. |
litre | La litre est une bande d'étoffe noire ou peinture sur laquelle se détachaient les armoiries du seigneur lors de ses funérailles sous l'Ancien Régime |
dialecte | Variété régionale d'une langue |
corniche | Partie saillante qui couronne un édifice, destinée à protéger de la pluie les parties sous-jacentes |
céphalophore | Qui porte sa tête - Se dit de représentations de saints ayant eu la tête coupée et montrés portant leur tête dans leurs mains, Saint Denis en particulier |
double du théâtre | Paradoxe par lequel Antonin Artaud présente la vie comme double du théâtre plutôt que l’inverse, s’opposant ainsi à la théorie du reflet |
société diderot | Textes de Diderot (ABU). |
dessous | Les dessous sont ce qui est sous la scène |
haut-relief | sculpture présentant un relief important, mais qui ne se détache pas du fond dans toute son épaisseur. |
pantomime | Spectacle composé des seuls gestes du comédien |
récit | 1 |
critique | Épistémologie, ou étude raisonnée d'un objet à partir d'un ou plusieurs critères servant de base à un jugement de valeur |
scénario | Arguent, canevas d’une pièce de théâtre |
moralité | Pièce médiévale, en vers, visant la diffusion des bonne mœurs |
cintre | Courbure de la surface intérieure d'une voûte ou d'un arc |
douane | l'espace hors-douane est accessible à tous les publics sans titre d'entrée, qui se situe en amont du contrôle |
balcon | Galerie surplombant l’arrière du parterre et pouvant s’étendre sur les côtés, jusqu’à l’avant-scène |
spot | Petit projecteur, à faisceau lumineux étroit, destiné à éclairer un acteur ou une partie du décor |
manteau d'arlequin | Partie de la scène qui commence au rideau et se termine au premier plan des coulisses; autrefois décorée en forme de draperie de couleur rouge |
intransitivité | Statut par lequel le discours dramatique se distingue de la parole commune en ce qu'il est une communication médiate et non réductible à un échange d'information |
gnomon | Le mot Gnomon, emprunté au latin, signifie aiguille de cadran solaire |
passerelle | Galerie légère permettant le service au-dessus de la scène |
triforium | Galerie se situant au-dessus des bas-côtés d'une église |
écriture dramatique | Structure littéraire reposant sur quelques principes dramaturgiques : séparation des rôles, dialogues, tension dramatique, action des personnages |
fonction | Ensemble des actions d'un personnage - voire d'un objet - considéré du point de vue de son rôle dans le déroulement de l'intrigue |
blochet | Petite pièce horizontale d'une ferme(élément de charpente)généralement posée ou assemblée sur des sablières, destinée à recevoir le pied d'un chevron et d'une jambe de force |
action | Succession des évènements constituant la trame d'une pièce de théâtre, centrée sur le mouvement, la dynamique. |
chapiteau | pierre qui couronne le fut d'une colonne, généralement composé d'un tailloir et d'une corbeille. |
virtuel | Se dit d'une image dont les points se trouvent sur le prolongement des rayons lumineux (1858), de la simulation d'un espace réel par des images de synthèse, d'une création qui n'a d'autre réalité que sur écran cathodique |
mandorle | en sculpture, forme ovale qui entoure parfois la Vierge sur son trône ou le Christ en majesté. |
dramaticité | Caractère de ce qui est dramatique; qualité d'une écriture, d'un espace ou d'un événement qui sont susceptibles d'être mis en scène |
chape | Long vêtement de cérémonie ouvert sur le devant, généralement de forme semi-circulaire, porté par-dessus tous les autres et servant pour les messes pontificales et d'autres cérémonies solennelles |
poivrière | Construction à toit conique placée en encorbellement aux angles d'un bâtiment, d'un château-fort, d'un manoir. |
figurant | Personnage à caractère « décoratif », sans réplique particulière : gardes, membres d’un jury, d’un sénat, etc. |
lecture publique | Présentation orale d’une pièce, texte en mains, dans le cadre d’une mise en lecture |
catalepse | Achoppement sur une syllabe, un mot, un argument, à la fin d'une réplique, suivi d'une interruption suppléante par un interlocuteur |
indication scénique | Instruction d'interprétation ou de production fournie par une didascalie ou un indice. |
public | Terme désignant tantôt la clientèle d'un théâtre, voire d'un acteur, tantôt les occupants d'une salle |
lever de rideau | Courte pièce offerte en ouverture |
dia | Études de Diagnostic. |
astragale | anneau à la base d'une corbeille de chapiteau. |
visa | visa des études d'exécution. |
théâtre documentaire | Voir Docudrame. |
hosannière | Croix votive ornée de l'inscription "Hosanna". |
copyleft | autorisation est donnée de copier, de diffuser et de transformer librement les oeuvres dans le respect des droits de l'auteur |
gâble | Le gable (ou gâble, d'un mot pré-latin signifiant fourche) est à l'origine la figure triangulaire formée par les arbalétriers d'une lucarne |
contrapposto | Mot italien désignant l'attitude d'une figure appuyée sur une jambe, l'autre étant légèrement fléchie ("hanchement" en français). |
collatéraux | Synomyme de Bas-côtés. |
bâtière | Comble à deux versants, terminé par des murs pignons. |
burette | Petit vase contenant l'eau ou le vin de la messe |
dialectique | Utilisation discursive et actantielle de la contradiction dans la progression d'un discours |
barrette | Coiffe en drap noir des charitons dont la forme rappelle celle des bonnets d'évêques |
couleurs liturgiques | L'usage de couleurs dans la liturgie est réglementé depuis le traité d'Innocent III (1198-1216)mais son application généralisée ne date vraiment que du XIVème siècle |
opsis | Ce qui est visible, livré au regard |
corbeille | Terme parfois utilisé pour désigner le premier balcon |
acrotère | Socle disposé aux extrémités ou au sommet d'un fronton, servant de support à une statue, un vase ou tout autre ornement |
cintre | Voûte, cage aménagée au-dessus de la scène pour y recevoir les décors à dégagement vertical; on dit aussi « cage de scène et « tour de scène » |
shité | Personnage principal dans un intermède traditionnel du nô |
rituel | Séquence cérémonielle d'actions codifiées par des rubriques, se considérant elle-même dans l'ordre du vrai plutôt que du vraisemblable |
jouée | Cloison latérale, généralement sculptée en bas-relief, d'une rangée de stalles. |
trumeau | pilier divisant en deux le portail pour soulager le linteau |
arc doubleau | Arc séparant deux parties de voûte ou renforçant un berceau. |
parathéâtre | Se dit de formes parallèles du théâtre, comme les pageants. |
isotopie | Ensemble redondant de catégories sémantiques qui rend possible la lecture uniforme du récit |
jubé | tribune transversale en forme de galerie, élevé entre la nef et le choeur, dans certaines églises |
assonance | Répétition du même son, spécialement de la voyelle accentuée à la fin de chaque vers (ex |
nteau d'arlequin | Partie de la scène qui commence au rideau et se termine au premier plan des coulisses; autrefois décorée en forme de draperie de couleur rouge |
synchronie | Ensemble des faits artistiques ou linguistiques considérés comme formant un système à un moment déterminé de l'évolution d'une culture |
double adresse | Voir Double énonciation. |
armoiries | Les armoiries ou armes sont représentatives d'une ville, d'un état, d'une famille |
coryphée | Chef de chœur, dans le théâtre grec ou les jeux choraux qui s’en inspirent |
partition | Relevé synchronique des interventions verbales et non verbales d’un personnage, voire de tous les arts scéniques, de tous les codes ou tous les systèmes signifiants d’un spectacle |
enfeu | Caveau funéraire pris souvent dans l'épaisseur du mur |
banquiste | Amuseur public (cirque, foire, rue...), applicable surtout à celui qui annonçait les spectacles présentés sur le banc (tréteau) |
hucher | ( ou Huchier) Artisan qui travaille le bois (pourrait être assimilé aux menuisiers de nos jours) |
métathéâtre | Théâtre autoréflexif, théâtre dans le théâtre, pièce ou scène centrée sur l'écriture, l'espace ou l'événement théâtral |
monogramme | Chiffre composé de la lettre initiale d'un nom ou de la réunion de plusieurs lettres d'un nom entrelacées et ne formant qu'un seul caractère. |
pilier | Les piliers supportent les voûtes |
métalepse | Type de métonymie où le transfert va de la cause à l’effet, de l’avant à l’après, ou inversement, voire même du dramaturge au personnage |
cintre | voir |
sociolecte | Langue propre à un groupe donné (ex |
miséricorde | Le petit appui qui se trouve sous la partie mobile des stalles |
kyôgen | Intermède comique entre deux pièces de nô |
pilastre | Pilier rectangulaire en faible saillie, engagé dans le mur |
bonimenteur | Personne ou personnage ayant pour fonction, à la manière d'un rhapsode, mais sur le mode théâtral, de rendre en paroles les scènes de films muets |
cannelure | Longs canaux verticaux et parallèles creusés sur le fût de colonnes ou de pilastres. |
genre | un genre se distingue avant tout par une structure, une architecture qui relie différents contenus sémantiques et constitue un monde dans lequel chaque élément pris isolément perd sa signification |
confrérie | Association pieuse de laïcs basée sur les principes chrétiens de fraternité et de solidarité |
édition critique | Établissement d'un texte définitif, établi d'après examen des manuscrits et des éditions autorisées du vivant de l'auteur, avec variantes et commentaires à l'appui |
gouttereau | Mur externe d'un bâtiment (celui qui porte les gouttières ou chenaux) |
farce | Comédie triviale souvent caractérisée par une tromperie, et se terminant tout aussi souvent par une bastonnade |
brigadier | Bâton utilisé pour frapper les coups annonciateurs du début d'une représentation |
charpente à roue | Type de charpente que l'on trouve principalement dans les colombiers, les moulins ou toute construction de forme ronde |
xylographie | Impression au moyen de planches de bois gravé |
nef | partie d'une église comprise entre le portail et le choeur dans le sens longitudinal, où se tiennent les fidèles ( vaisseau) On distingue les nefs centrales des nefs latérales. |
mise en lecture | Activité consistant à présenter un texte dramatique dans le minimum de dispositifs que requiert une lecture publique |
song | Intervention chorale, dans le théâtre brechtien |
voile de calice | C'est un grand voile carré, qui doit être suffisamment ample pour recouvrir entièrement un calice surmonté d'un purificatoire, d'une patène et d'une pale et retomber sur un autel, au moins par devant. |
didascale | Nom donné en Grèce à celui qui enseignait un art, notamment l'art dramatique. |
herses | Rampes d’éclairage mobiles, suspendues dans les cintres à la hauteur de chaque plan. |
boulin | Trou ou pot en terre où niche un pigeon dans un colombier |
archivolte | arc qui surmonte l'ensemble des |
tribune | Galerie haute située au-dessus des bas-côtés d'une église. |
tintenelle | Clochette de procession |
alexandrin | Vers français de douze syllabes |
livres liturgiques | Des éditions anciennes sont souvent conservées dans les sacristies |
figure de rhétorique | Mode d'expression stylistique, variable dans l’utilisation des images sonores, verbales et visuelles, les plus connues étant la métaphore et la métonymie |
tour lanterne | Tour percée de fenêtres et située au dessus de la croisée des transepts ; elle participe à l'éclairage de cette croisée. |
jubé | Galerie, tribune, dans le vocabulaire des églises chrétiennes |
ogive | Arc diagonal bandé sous une voûte et en marquant l'arête, caractéristique de l'architecture gothique |
quotidien | Type d’écriture de la fin du XXe siècle qui se rattachait sociologiquement à la vie de tous les jours, autour de Michel Deutsch, Michèle Foucher et Jean-Paul Wenzel |
maquillage | Se dit des produits servant à recouvrir la peau, et surtout rehausser ou modifier les traits du visage |
suspense | Moment ou passage de nature à faire naître un sentiment d'attente angoissée; caractère de ce qui est susceptible de provoquer ce sentiment |
choeur | Partie de l'église où se trouve l'autel située entre l'abside et la nef |
texte dramatisable | Écrit dont la théâtralité involontaire provient d'une analogie de structure avec le texte dramatique, comme le dialogisme d'un roman, la relation scène-salle d'une cour de justice, voire le rituel litanique du bottin téléphonique |
grils | Planchers à claires-voies suspendus aux combles dans les cintres et couvrant toute la surface de la scène |
culée | Massif de maçonnerie qui, par sa masse, neutralise les poussées transmises par un arc-boutant. |
oeil-de-boeuf | Lucarne ou fenêtre, de forme ronde ou ovale. |
chéneau | Conduit en pierre, en terre cuite ou en métal collectant les eaux à la base de la toiture, des combles ou entre deux versants, pour en permettre l'évacuation par les tuyaux de descente ou les gargouilles. |
cul de four | Voûte en forme de quart de sphère ou demi coupole. |
chauffoir | c'est la seule pièce chauffée de l'abbaye |
reprise | Retour d'une pièce à l'affiche, par la même compagnie, selon la même mise en scène et, normalement, la même distribution. |
guilloché | Désigne un décor fait de lignes ondulées ou brisées. |
lazzi | Élément mimique ou improvisé par l'acteur servant à caractériser comiquement le personnage |
péripéties | Changement subit de situation dans une action dramatique ou scénique |
chaperon | A l'origine coiffure pour se protéger de la pluie, c'est une pièce de drap ou de velours de couleurs variées devenue l'insigne des confréries de charité |
exe | Études d'Exécution. |
gargouille | Gouttière saillante (souvent en forme d'animal monstrueux) pour évacuer l'eau de pluie à distance des murs. |
collatéral | nef latérale d'une église |
claveau | Pierre taillée en coin utilisée dans la construction d'un arc, d'une voûte |
didascale | Nom donné en Grèce à celui qui enseignait un art, notamment l'art dramatique |
archivolte | Éléments d'ornement (moulures, baguettes, bas-relief) de l'intrados et du pourtour d'un arc, d'une voûte. |
archétype | Ensemble de dispositions acquises et universelles de l'imaginaire humain |
effet d'étrangeté | Effet qui survient quand l'objet montré est critiqué, déconstruit, mis à distance |
traitement | le traitement est la forme précise et particulière donnée à des objets discursifs. |
icône | Signe visuel qui renvoie à l'objet qu'il dénote simplement en vertu des caractères qu'il possède |
autguste | Type de clown triste, reconnaissable à ses habits en lambeaux |
pignon | Nom donné au mur de façade d'une église ou d'un bâtiment |
barlotière | Traverse de fer servant à rigidifier le châssis d'un vitrail. |
identification | Travail de l'acteur et du spectateur pour adopter les attitudes et les sentiments d'un personnage dans un contexte théâtral donné |
géminé | Se dit de fenêtres, arcades, colonnes groupées par deux sans être en contact (souvent séparées par une mince colonne). |
lancette | forme d'un arc très étiré, en pointe, ressemblant à un fer de lance, utilisée surtout dans l'architecture gothique pour les baies à vitraux. |
hourd | Charpente en encorbellement au sommet d'une tour ou d'une muraille |
poinçon | Pièce de bois verticale, placée dans l'axe d'une ferme et travaillant en traction. |
gestus | Concept d'origine brechtienne désignant, au-delà du simple geste, l'attitude des personnages les uns envers les autres; se situe entre l'action et le caractère |
stalle | les stalles sont les sièges réservés aux chanoines dans le choeur (souvent clôturé) |
projecteur | Phare dont les rayons sont réfléchis et projetés en faisceaux parallèles |
verset | Vers libre inspiré de la traduction littérale des chants et de la segmentation des proses de la Bible. Il est généralement divisé en fonction d’une image centrale, d’une unité de sens ou d’une pause de la voix plutôt que d’une mesure fixe. Forme fréquente dans les textes de jeu choral et reprise notamment dans le théâtre de Paul Claudel. |
céroféraire | Qui porte les cierges |
lazaret | établissement où s'effectuent le contrôle sanitaire et l'isolement des malades contagieux, en particulier des lépreux. |
multimédia | il s'agit en général d'une combinaison de différentes données numériques : textes, sons, images fixes ou animées, sur un même support accessible au moyen d'un système informatique. |
plan de feu | Herse supportant l'éclairage de chaque panneau (ou plan) latéral |
sociodrame | Technique inspirée de la création collective théâtrale et employée en thérapie de groupe |
antiphonaire | Recueil de chants liturgiques, recueil des antiennes de la messe |
rue | Succession de trappes carrées d’environ un mètre de côté s’alignant côte à côte parallèlement au cadre de scène |
champ de cœxistence | Phénomène d'intertextualité selon lequel un énoncé en suppose d'autres, se situe dans une série d'effets et de successions, et participe à une distribution de fonctions et de rôles |
pièce-bien-faite | Pièce brillante par la virtuosité de l'intrigue et l'agencement parfaitement logique de l'action |
post-production | dernière phase de la réalisation d'un film, d'une bande son |
bretèche | Fortification en encorbellement et à mâchicoulis placée au dessus d'une porte. |
duramen | Partie du bois totalement lignifiée dans laquelle la sève ne circule plus |
chapiteau | Pierre taillée et sculptée surmontant une colonne ou un pilastre et recevant la retombée des arcs. |
métonymie | Trope par lequel on désigne le tout pour la partie ou la partie pour le tout |
dramaturgie | Art de la composition des pièces de théâtre |
troupe de théâtre | Groupe de comédiennes et comédiens réunis de façon relativement artisanale autour de projets de représentation. La troupe est le plus souvent solidaire et parfois entretenue par un mécène, une communauté, une famille |
remplage | Réseau de pierre garnissant l'intérieur d'une fenêtre, d'une baie, d'une rosace |
ornement liturgique | Un ornement liturgique est un ensemble de vêtements liturgiques réalisés dans le même tissu |
jubé | tribune transversale en forme de galerie, élevé entre la nef et le chœur, dans certaines églises |
lisse | Rail permettant le glissement des cintres. |
narration | Manière dont les faits sont relatés par un système, linguistique ou théâtral (en ce cas par une succession de gestes ou d'images scéniques) |
réalisme | Conception de l'art et de la littérature, selon laquelle on ne doit pas chercher à idéaliser le réel ou à en donner une image épurée |
déclamation | Art de dire un texte |
antagoniste | Personnage en opposition ou en conflit |
chevron | Charpente : Pièce de bois qui supporte le lattis et les matériaux de couverture |
porche | Construction servant d'abri devant l'église |
transdisciplinaire | Mise en œuvre d'une axiomatique commune à un ensemble de disciplines (ex |
dramaturge | Auteur d'un texte dramatique (allemand dramatiker) |
dénégation | Situation du spectateur qui subit l'illusion théâtrale, tout en ayant le sentiment que ce qu'il perçoit n'existe pas vraiment |
erp | Établissement recevant du Public. |
performance | Expression artistique consistant à produire des gestes, des actes, un événement dont le déroulement temporel constitue l'œuvre |
pragmatique | Étude de la parole en ce qu'elle vise à agir sur les intervenants |
modalité | Marque de l'attitude du locuteur en face de ses énoncés (ex |
weltanschauung | De l’allemand : « vision du monde » : regard universel, conception de la vie qu’un dramaturge ou un metteur en scène peuvent traduire au travers d’une ou de plusieurs œuvres. Sens proche de l’origine des mots théâtre et théorie |
sociocritique | Méthode d'analyse des textes qui se propose d'examiner le rapport du texte au social |
design sonore | définit les présences ou absences du son, leurs traitements dans les programmes, ainsi que les ambiances sonores à réaliser. |
arc en plein cintre | arc dont la courbure est un demi cercle. |
esq | Études d'Esquisse. |
encorbellement | Construction en saillie du plan vertical d'un mur, soutenue en porte-à-faux par un assemblage de corbeaux ou de consoles |
sablière | Poutre horizontale posée au fait d'un mur gouttereau, et qui supporte les autres pièces de la charpente |
miséricorde | Support placé sous le siège mobile d'une stalle d'église, et qui permet de s'asseoir légèrement. |
scriptorium | dans un monastère, atelier où s'effectue la copie des manuscrits (et éventuellement leur enluminure). |
epitaphe | Inscription funéraire comportant souvent une fondation de service pour le repos de l'âme du défunt. |
oratorio | Drame lyrique exécuté en concert sans décors ni costumes |
connotation | Ensemble des valeurs subjectives variables d'un mot |
dithyrambe | Cantique lyrique à la gloire de Dionysos dont serait née la tragédie |
bardeau | Planchettes en bois clouées en façade ou en toiture remplaçant les ardoises |
radio-roman | Dramatique radiophonique présentée feuilletons quotidiens ou hebdomadaires. |
arcade | ensemble composé d'un arc et des montants qui le soutiennent. |
théâtrologie | Étude du théâtre dans toutes ses manifestations et sans exclusive méthodologique |
ticn | technologies de l’information et de la communication numériques |
brigadier des cintres | Voir Cintrier. |
pratique discursive | Expression employée pour souligner que le discours est une action sociale |
lierne | nervure liant la clef de voûte aux clefs de voûtes secondaires des tiercerons. |
typé | Qui réunit à un haut degré les caractéristiques d'un type |
arc-boutant | arc extérieur à l'édifice, accolé à un mur pour transférer la poussée d'une voûte vers une pile de pierre appelée culée |
bandeau | Moulures unies larges et peu saillantes se profilant en surface verticale ou horizontale, tout en suivant le contour d'une arcade, d'une baie ou d'une porte fenêtre |
maître d'ouvrage | historiquement, le maître d'ouvrage est la personne morale, publique ou privée, pour laquelle l'ouvrage est construit |
interprétation | Action de donner ou faire donner vie et sens à une œuvre destinée à la scène |
draperie | Ensemble de rideau qui sépare la salle de la scène |
balustrade | Rangée de colonnettes arrondies, ou balustres, portant une longue tablette et servant à délimiter un espace surélevé (patio, chœur d’église) ; du latin stratum, pavé |
voûte | Partie intérieure de forme arrondie de la couverture d'un édifice |
bourse de viatique | Bourse de corporal avec une pochette latérale, destinée à porter un corporal et un ciboire des malades |
zéamien | Propre aux théories de Zéami, homme de théâtre japonais du XVe siècle, à qui on doit des ouvrages sur le nô et sur la formation de l’acteur |
lampe de sanctuaire | Indiquant la Réserve eucharistique et souvent suspendue devant l'autel, elle peut être de valeur. |
arc à double rouleau | arc à double rangée de claveau. |
conopée | Le conopée est un voile recouvrant le tabernacle qui conserve la réserve eucharistique |
perque | La perque est une forme de poutre de gloire |
simagrée | Gestuelle inusitée |
topos | Proposition générale ayant statut de lieu commun |
perlocutoire | Voir Acte de langage. |
jubé | Tribune transversale en forme de galerie ou clôture monumentale élevée entre le chœur et la nef, dans certaines églises |
renaissance | Période qui a débuté dans l'Italie du XIVème siècle et s'est étendue à l'Europe occidentale au XVIème siècle. |
pot à feu | Ornement représentant un vase d'où jaillissent des flammes, généralement placé au sommet ou aux extrémités d'un fronton ou d'un pignon. |
illusion | Phénomène qui fait qu'on semble prendre pour réel et vrai, selon la convention d'un spectacle, ce qui n'est que fiction.Pavis 1987, p |
projection | 1 |
arc brisé | Arc formé de deux arcs de cercle |
chancel | Désigne la grille ou balustrade séparant le chœur et la nef d'une église |
tragi-comédie | Genre dramatique qui traite des sujets romanesques et aboutit à un dénouement heureux. |
écriteau | Pancarte ou écran sur lesquels, dans un esprit de distanciation, certaines indications scéniques sont rendues manifestes pour les spectateurs. Brecht a écrit certaines « pièces à écriteaux ». |
décorum | Ensemble des règles qu'il convient d'observer pour tenir son rang sans une bonne société |
ambon | Tribune fixe ou chaire en pierre comportant un garde-corps édifiée à l'entrée du chœur liturgique ; souvent au nombre de deux, celle du nord sert à lire l'Évangile et celle du sud l'Epitre |
sémiosis | Opération qui, en instaurant une relation de présupposition réciproque entre un signifiant et un signifié, consiste à produire des signes |
opéra | Drame lyrique, entièrement chanté, exécuté au théâtre avec décors et costumes |
rôle | Parchemin enroulé |
caractérisation | art de créer des personnages, leur personnalité et la mise en scène de leur personnalité spécifique à l'intérieur d'une bible propre à la série TV, qu'il s'agisse de fiction ou de dessin animé. |
ironie | Énoncé ou situation qui, au-delà de son sens manifeste, en cache un autre, différent et parfois opposé |
salle capitulaire | Salle où se réunit un chapitre, c'est-à-dire l'ensemble des moines ou des chanoines. |
pratique | Exercice d’un art, par opposition à la théorie |
euphémisme | Expression atténuée d'une notion dont l'expression directe, pour des raisons de bienséance, aurait quelque chose de déplacé (ex |
polyphonie | Combinaison de plusieurs voix, de plusieurs éléments signifiants dans une action dramatique ou scénique. |
absidiole | abside secondaire greffée sur l'abside principale (aussi appelée chapelle rayonnante). |
fonts baptismaux | Cuve destinée à recevoir l'eau bénite servant à l'administration du baptême |
interactivité | Influence réciproque des composantes d’une production, notamment dans un cadre interdisciplinaire ou multimédia. |
barlongue | voir Voûte |
déambulatoire | Galerie de circulation faisant le tour du choeur, sur laquelle s'ouvrent souvent les chapelles rayonnantes. |
jambette | pièce de bois verticale soutenant une partie de la charpente. |
thème | le thème est ce dont on parle |
antonomase | Figure de style qui remplace le nom d'un personnage par une périphrase ou par un nom commun qui le caractérise (ex |
fatalité | Force surnaturelle par laquelle tout ce qui arrive (surtout ce qui est désagréable), est perçu comme déterminé d'avance d'une manière inévitable |
machinerie | Appareillage utilisé pour différents effets (apparition de personnage, changement de décor, lever de rideau, pont roulant…) |
four | Mauvaise pièce. |
servante | Veilleuse offrant un éclairage minimal sur une scène inoccupée |
barbacane | Ouverture étroite et verticale insérée dans la maçonnerie et permettant l'écoulement des eaux pluviales |
coussiège | Banc inséré dans l'embrasure d'une fenêtre par un ressaut de la baie |
bandeau | Moulure rectiligne horizontale |
coups | Trois coups frappés pour attirer l'attention du public au début d'une pièce, particulièrement quand il y a lever de rideau |
cloître | Du latin : claustrum = enceinte |
crypte | Chapelle souterraine aménagée pour recevoir les reliques d'un saint, sous une église, presque toujours sous le chœur |
objectif et superobjectif | Motivations qui, selon Stranislavski, structurent la stratégie globale d'un personnage |
quatrième mur | Dans le théâtre naturaliste : mur imaginaire séparant la scène de la salle |
divertissement | Intermède dansé et chanté |
gâble | Motif ornemental triangulaire, souvent ajouré, surmontant les fenêtres, les portes, ou placé à la base des clochers. |
déclamatoire | D’expression pompeuse, loin du naturel. |
agon | Dialogue et conflit des ennemis qui forment le cœur de la pièce |
cave | Située en sous-sol des maisons, la cave elle est souvent un témoignage de l'habitat ancien car elle a peu subi les destructions des siècles passés |
blocage | On désigne par ce mot un massif en maçonnerie formé de blocs de pierre gros ou menus jetés pêle-mêle dans un bain de mortier |
double dialogie | Voir Double énonciation. |
ostensoir | Pièce d'orfèvrerie en cuivre ou en métal précieux où est exposée l'Eucharistie. |
mimésis | Imitation ou représentation d'une chose |
banc-d'oeuvre | Le banc réservé aux fabriciens et au clergé en face de la chaire |
musée de france | ce label peut être accordé aux musées appartenant à l'État, à une autre personne morale de droit public ou à une personne morale de droit privé à but non lucratif article sous certaines conditions de mission et de fonctionnement comme conserver, restaurer, étudier et enrichir leurs collections ; rendre leurs collections accessibles au public le plus large ; concevoir et mettre en oeuvre des actions d'éducation et de diffusion visant à assurer l'égal accès de tous à la culture ; contribuer aux progrès de la connaissance et de la recherche ainsi qu'à leur diffusion ; disposer d'un service ayant en charge les actions d'accueil du public, de diffusion, d'animation et de médiation culturelles (Articles L441-1 à L442-10 du Code du patrimoine). |
mystère | Action scénique d'ordre religieux - égyptienne, grecque, médiévale - et principalement rattachée à la vie des dieux sur terre |
entrait | Pièce de bois horizontale joignant les deux chevrons d'une ferme |
organisation | relations qui doivent exister entre les composants d'un système pour qu'il soit membre d'un classe (Varela & Maturana, 1994). |
bâton de confrérie | Insigne orné et sculpté, porté dans les processions, présentant l'effigie du patron de la confrérie. |
superstition | Interdits qui ont cours dans le milieu et dont il ne sait plus toujours le sens ni l'origine, comme la pratique de se souhaiter « Merde ! » au lieu de « Bonne chance ! », et celles d'éviter de décorer en vert ou d'employer sur scène le mot « corde » |
lumière noire | Rayonnement ultraviolet invisible, employé comme effet spécial pour provoquer dans l'obscurité la fluorescence de certains corps, notamment les étoffes blanches |
noue | Arête rentrante formée par l'intersection de deux pans de toiture |
théâtralité | Caractère de ce qui est théâtral qui ressemble à une pièce de théâtre. |
narthex | Vestibule de l'église, différent du porche en ce qu'il est compris sous la même couverture que la nef |
claire-voie | ensemble des fenêtres éclairant un vaisseau. |
quadrilobe | Motif ornemental composé de quatre arcs de cercle (comme un trèfle à quatre feuilles) |
chorégraphie | Terme, issu du théâtre grec où il désignait l'art de diriger les chœurs, utilisé depuis le début du XVIIIe s pour désigner l'art de composer des danses et d'en régler les figures et les pas |
fresque | Très utilisée autrefois pour la décoration des églises |
moulin | Le département de l'Eure possède de nombreux moulins à eau |
poursuite | Phare mobile destiné à projeter la lumière sur un personnage ou sur un objet en mouvement |
narthex | Portique élevé en avant de la nef des basiliques. |
nef | Du latin : navis = vaisseau |
jeu choral | Type de spectacle entièrement interprété par un ou des chœurs, à la manière des premières pièces grecques. |
dramatique | Adj. : qui se rappoorte au drame |
double discours | Énonciations parallèles et parfois contradictoires soutenues par un personnage, voire même par certains éléments de la production |
anticipation | Brève scène permettant de prévoir un moment ultérieur, voire même le dénouement |
marivaudage | Jeu galant avec les mots qui est à la fois le symptôme du désir et de l'hésitation à se compromettre du personnage marivaldien |
berceau | Voûte formant un demi-cylindre : berceau en plein cintre ou adoptant le profil d'un arc brisé : voûte en berceau brisé. |
ogive | nervure en diagonale qui soutient la voûte d'une travée |
indice | Indication scénique implicite, dans le corps du texte. |
bec | Pointe de terre au confluent de rivière |